L’affaire du petit Grégory enfin résolue 40 plus tard ? “on connaît l’identité de l’assassin !”

40 ans après le meurtre de Grégory Villemin, l’ex-directeur de l’Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale a dévoilé que la police connaissait l’identité de l’assassin.

L’affaire du petit Grégory est l’un des faits divers les plus tristement célèbres de l’histoire judiciaire française. Elle remonte à 1984, lorsque Grégory Villemin, un garçon de 4 ans, est retrouvé mort dans la Vologne, une rivière des Vosges. Son corps est découvert ligoté et lesté de pierres.

Les investigations policières sont marquées par des rebondissements et des erreurs, notamment avec la mise en cause des parents du garçonnet, Christine et Jean-Marie Villemin, innocentés depuis.

L’identité de l’assassin du petit Grégory est connue
Et malgré plusieurs arrestations et des années d’enquête, l’affaire Grégory Villemin n’a jamais été résolue de manière définitive. Le 28 février 2024, Jacques Pradel et François Daous ont publié un livre intitulé, “Police technique et scientifique : Le Choc du futur” dans lequel ils analysent les progrès techniques accomplis par la police scientifique, qui ont révolutionné les méthodes d’enquête.

Lors de la promotion du livre, l’un des auteurs, François Daoust, ex-directeur de l’Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale a accordé un entretien à Ciné-Télé-Revue. Une interview au cours de laquelle il a fait d’incroyables révélations sur l’affaire du petit Grégory Villemin. “Nous connaissons l’identité de l’assassin !”, a-t-il balancé dans des propos relayés par Gala.

“En off, on sait ce qu’il s’est passé”
Selon lui, “une erreur judiciaire” a empêché l’inculpation de l’auteur présumé du meurtre. “La vérité est qu’il y avait des analyses, des interrogatoires qui étaient bons et qui nous donnaient la réponse”, a expliqué François Daoust.

“En off, on sait ce qu’il s’est passé mais officiellement, on ne peut pas le dire. On ne peut pas en faire état, au risque sinon d’être poursuivi pour diffamation. Mais il y avait tout”, a-t-il conclu.

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