C’est un témoignage fort que vient de faire l’une des stars de l’attaque du PSG. Arrivé cet été, le jeune attaquant a vécu un mois de décembre cauchemardesque en raison d’un virus qui lui a fait vivre l’enfer.
Il y a des adaptations plus faciles que celle qu’est en train de vivre un des nouveaux attaquants du Paris Saint-Germain, acheté à prix d’or l’été dernier et qui a bien du mal à s’imposer à la pointe de l’attaque du club de la capitale. Arrivé en provenance du Benfica Lisbonne pour près de 80 millions d’euros après de très belles saisons au Portugal, Gonçalo Ramos réussit des débuts mitigés avec le PSG, où il joue assez peu. Il faut dire que la concurrence est rude en attaque avec des joueurs comme Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé, également arrivé à l’été 2023.
Si Gonçalo Ramos n’est pas au meilleur de sa forme depuis le début de saison, le joueur lui-même vient sans doute de donner les raisons de ce coup de mou. Dans une interview accordée au média portugais Record, le coéquipier de Cristiano Ronaldo en sélection nationale a révélé avoir été touché par une gastro-entérite puis une infection du côlon au mois de décembre. “J’ai eu un mois de décembre difficile. J’ai commencé par un virus, qui s’est ensuite transformé en une infection du côlon. J’ai passé 20 jours à saigner et à vomir, incapable de manger et avec une très forte fièvre“, raconte l’attaquant, qui a vécu un vrai cauchemar pendant plusieurs semaines.
Au départ, le staff médical du club parisien pensait qu’il s’agissait d’un virus mineur, avant de se rendre compte de l’état de santé inquiétant de son joueur. Incapable de s’entraîner pendant près de 10 jours, le Portugais a dû être pris en charge sérieusement et à perdu pas mal de poids. “J’ai fini par aller à l’hôpital quatre ou cinq fois et j’ai été mis sous perfusion. J’ai perdu huit kilos et en période d’adaptation à la France, ajouter cette mésaventure n’a pas aidé“, précise Gonçalo Ramos, dans des propos rapportés par Le Parisien, avant de poursuivre : “Ensuite, j’ai dû reprendre du poids en pleine saison, en faisant la présaison en janvier, ce qui n’est pas évident.”
